Il était une fois PORT GRIMAUD...
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Rue de la Tour coté Lac Intérieur Autres cartes postales de la rue de la Tour (1968) |
Rue de la Tour coté mer...
Rue de la tour coté Lac Intérieur... Carte postale de la Tour. Cette dernière était en pierre...(1968) Puis fut recouverte d'un crépis ocre qu'elle a gardé depuis. |
Pour faciliter les déplacements entre les bureaux de l'architecte, place des 6 canons, et le chantier naissant de l'Octogone, une langue de terre avait été conservée provisoirement, séparant le canal en 2, et un passage avait été créé à l'emplacement de la maison n° 39 de la rue de l'octogone. Seul le premier étage de cette maison avait été construit formant un petit porche éphémère sous lequel on pouvait aller et venir soit à pied soit avec un véhicule de tourisme. |
" Jacques RIGAUD, dans son livre 'la Culture pour vivre', souligne que, depuis l'Empire romain jusqu'au premiers tiers du XXe siècle, il y a une continuité de création dans chaque région comme dans chaque pays. Cette continuité, dit-il, s'applique aux fermes comme aux châteaux, aux maisons comme aux églises et aux édifices publics. Il voit là une des manifestations les plus profondes de la solidarité entre la culture populaire et la culture d'élites... Et Maurice CULOT de penser qu'il faut absolument empêcher cette solidarité de disparaître. Mes collaborateurs et moi nous sommes efforcés de la retrouver dans nos diverses constructions..." François SPOERRY |
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Le premier plan d'eau entre la Grand'rue et la Chaussette était irrigué par un canal le reliant à la rivière voisine "La Giscle". On commença à construire également une canalisation pour une station de pompage à hauteur de la place des 6 canons.
(Voir l'anecdote des MOULINS A VENT...) |
Le quai et les collectifs de la Tartane ont été dessinés de façon à préserver le pin parasol...
Soucieux du détail et de l'environnement, François SPOERRY dessina le quai de la Tartane de façon à y intégrer le pin parasol qu'il ne put se résoudre à abattre ou déplacer... |
Cartes postales du quai de la Tartane... (1968) |
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L'OEUVRE de François SPOERRY... |